Les simples prétextes du bonheur - Nahal Tajadod – JC Lattès, 2016

Un livre classé dans les « Feel good » qui bénéficie de plusieurs avis positifs mais qui ne m’a apporté aucune sensation de bien-être. Je n’ai malheureusement pas pu entrer dans l’univers de l’auteur, n’éprouvant aucune empathie envers les personnages. Pourtant, les thèmes sont intéressants : la tyrannie des faux-semblants, la reconstruction intérieure, le choc de la rencontre avec la culture orientale (que j’adore en plus !).

Après 150 pages, j’en ai conclu que le style de l’auteur ne me convenait pas. Une narration distanciée, des digressions, un fil conducteur plutôt non conducteur et quelques tirades qui font sourire mais sans plus. Sans doute ce livre a-t-il son public mais je ne dois pas en faire partie.

Quatrième de couverture Elle est riche et splendide. Mais cette bonne fortune s’accompagne d’un frisson secret et tenace. Elle a peur de tout perdre, de se perdre, de traverser la vie tout en marchant à côté d'elle-même. Un jour, elle pousse la porte d’une épicerie iranienne à Paris. Que cherche-t-elle ? Elle l’ignore. Mais elle se lie avec le patron et sa famille délurée, fantasque, qui n'ont rien à lui refuser. Ils bouleversent la vie de Cécile et se laissent éblouir par elle.